Nom, prénom, année de naissance : Lebret, Myriam, née le 14 novembre 1991

Fonction et profession : Journaliste titulaire à L’Yonne républicaine

 

Quand avez-vous quitté le Magistère et avec quel(s) diplôme(s) ? Quel a été votre parcours universitaire et professionnel depuis ?

J’ai terminé le Magistère en 2015 avec un Master 2 spécialisé en journalisme web. Depuis, je suis devenue journaliste titulaire dans un titre de presse quotidienne régionale : L’Yonne républicaine. J’y avais effectué un stage en 2014 et ils m’ont rappelée en 2015 pour signer un CDD d’été (que j’ai fait après mon stage de fin d’études chez Slate) qui s’est transformé en CDI dès septembre. Ce poste me permet d’avoir une double casquette : je suis à la fois affiliée à l’équipe print et à l’équipe web de la rédaction.

Quel(s) souvenir(s) gardez-vous du Magistère ?

Je garde de très bons souvenirs du Magistère JCO, tant au niveau de la formation que de l’ambiance. Pour moi, le point fort de la formation sera toujours son caractère pluridisciplinaire : les cours sont très variés et permettent d’avoir une bonne culture générale. Et puis, grâce aux stages et aux missions synergie, j’ai pu essayer tout ce qui m’intéressait : que ce soit la radio, la presse magazine, le montage vidéo, la communication… D’ailleurs, c’est plutôt compliqué de résumer le Magistère en un seul mot ! Je me souviens aussi des heures passées avec ma promo à travailler nos projets de groupe ou à essayer de comprendre nos cours de droit.

Quels conseils d’orientation donneriez-vous à de futurs étudiants Magistériens et, plus généralement, à de futurs étudiants en journalisme et/ou communication ?

Pour commercer, j’aimerais leur dire que trouver un travail à la sortie, c’est possible. Dans une branche comme dans l’autre. Ne vous privez surtout pas de stages et multipliez les expériences. Le fait que vous ayez plusieurs casquettes est aussi à mettre en avant : vous avez des bases en communication, en journalisme, en droit… C’est une formation riche ! Aujourd’hui, en communication comme en journalisme, les employeurs ne cherchent plus des gens mono-tâches et de simples exécutants, mais des personnes qui peuvent monter un projet de A à Z. Et puis, une dernière chose, ne vous privez pas de choisir la filière qui vous plaît le plus par peur de ne pas trouver du travail. Vous aurez toujours la possibilité de vous réorienter.