Le Magistère Journalisme et Communication des Organisations a entamé les entraînements pour le Magisterium ce vendredi 1er février à Aix-en-Provence. Les étudiants préparent la compétition sportive en plus de l’organisation de l’événement prévu du 22 au 24 mars.

Malgré des températures extérieures au plus bas la semaine dernière, les magistériens se sont réchauffés pendant les entraînements. Les plus motivés ont débuté la préparation physique pour affronter les autres formations et remporter le trophée tant convoité. Pour travailler leur technique, les étudiants se donnent rendez-vous chaque vendredi au Service Universitaire des Activités Physiques, privatisé pour l’occasion. Les dribbles des ballons de basket ont rythmé la première séance. Une bonne occasion de se défouler, tout en façonnant la victoire à venir, le tout dans la joie et la bonne humeur. Les séances redoubleront d’intensité jusqu’au jour J.

Première épreuve bonus déterminant le thème

« Cet affrontement est devenu au fil des années l’un des championnats athlétiques majeurs de l’enseignement supérieur », rappelle d’ailleurs Gil Charbonnier directeur de la formation. Le dernier week-end du mois de mars sera marqué par des épreuves de sport : basketball, handball, football et les mythiques pom-pom girls. Le côté réflexion sera représenté par une épreuve d’éloquence, dont les sélections vont bientôt commencer, et une autre de culture générale. Cette année l’équipe de journalistes et communicants a récupéré la lourde tâche d’accueillir, d’organiser et de participer. Le climat se trouve donc marqué par cette mission importante.

Cette semaine a symbolisé aussi le lancement de la communication envers les autres équipes. Les organisateurs ont alors lancé une épreuve bonus sous forme de rébus pour découvrir le thème de l’événement. 48h plus tard le Magistère Droit des Techniques de l’Information et de la Communication et l’Aix-Marseille School Economics ont reçu chacun trois points bonus pour avoir découvert la bonne réponse : « Magisterix aux Jeux Olympiques ». La réponse n’a en réalité mis que dix-sept minutes à être trouvée. Les différentes équipes se sont ensuite vues attribuer des origines au cœur de l’Europe antique à défendre. Elles devront figurer dans les photos d’intimidations, chorégraphie etc.. Les magistériens ne sont donc pas près de redescendre en température d’ici le 22 mars !

Marie Lagache