3 questions à Maxime Chehade :

« Je suis très content de l’attitude des magistériens »

Peux-tu rapidement te présenter et nous dire quel rôle tu as joué dans l’organisation du Magisterium 2017 ?

Je m’appelle Maxime Chehade et je suis l’un des organisateurs du Magisterium 2017. J’ai participé à l’ensemble des tâches, mais je me suis occupé plus particulièrement de l’administratif. Je me suis chargé de créer l’association, le compte en banque. J’ai également contacté des acteurs administratifs pour mener à bien le programme du Magisterium.

Comment s’est déroulé la préparation de la cérémonie d’ouverture ?

Très bien. Cependant, les derniers jours ont été très stressants. L’échéance se rapprochait de plus en plus mais on pouvait seulement peaufiner les derniers réglages. Il faut savoir qu’il y a toujours des contretemps. Trois magistères n’ont pas pu arriver à temps, et on a été obligé de lancer la cérémonie sans eux.

Mais globalement tu es  quand même satisfait de la cérémonie d’ouverture ?

Oui ! Je suis vraiment très content de l’attitude de l’ensemble des magistèriens présents aujourd’hui. Le doyen de l’université et notre directeur ont été très bien accueillis. Et l’ensemble des étudiants ont respecté leurs discours. Nous avons réussi à remplir la salle, mais c’est tout de même dommage de ne pas avoir été au complet. Avec tous les magistères réunis, ça aurait été parfait !

Jordan Piol-Speranza

Micro-trottoirs

Cyrielle Kugler, 21 ans, Nancy, étudiante au Magistère de Juriste d’Affaires Européen

« J’ai été agréablement surprise par le déroulement de la cérémonie d’ouverture, et par la présence du directeur des JCO ainsi que du doyen. On voit qu’il y a un réel engouement et un esprit de promo chez vous, avec votre hymne et vos teddys noir et rouge. Pour nous c’est une bonne occasion de créer du lien en dehors de l’esprit de compétition qui nous anime tous. »

Antoine Gros, 21 ans, Paris, étudiant au Magistère d’Economie de Paris

« On apprécie vraiment d’arriver dans ces conditions après un long et fatiguant voyage. On s’est senti bien accueilli notamment grâce à la cérémonie d’ouverture, qui a été accompagnée  d’un buffet. C’est l’occasion de passer un bon moment entre magistériens. Mais on ne perd pas notre objectif de vu et demain on compte bien n’avoir aucune pitié lors des épreuves. »

Arthur Sorribas et Marion Riili