1. Pourquoi avez-vous rejoint le MJCO ? Quelles étaient vos motivations ?

Originaire de La Rochelle, j’ai rejoint le Magistère JCO à la suite d’une prépa littéraire (Hypokhâgne/khâgne). J’ai choisi de quitter l’Ouest de la France pour Aix-en-Provence car j’étais à l’époque très intéressée par le journalisme. Quelques mois après mon intégration au sein du Magistère, je me suis concrètement familiarisée avec le journalisme et la communication, pour finalement opter pour celle-ci.

  1. Qu’est-ce que le MJCO vous a apporté humainement et professionnellement ?
  • Professionnellement :

Source d’autonomie : Pour la recherche de stages, la rédaction de nos CV et lettres de motivation ou bien encore l’approfondissement de certaines des compétences au Magistère, les Magistériens sont souvent autonomes. Si certains enseignants proposent naturellement de nous accompagner, au Magistère, « tout ne nous tombe pas tout cuit dans la bouche », et tant mieux. Même si cela peut être perçu comme un inconvénient de la formation, c’est aussi un réel avantage, puisque cela nous fait gagner considérablement en autonomie.

D’assurance : Parler à l’oral devant une classe entière, aborder des passants dans la rue pour réaliser un micro-trottoir, organiser un événement pour le BDE, rencontrer des professionnels au cours des missions Synergie… sur de nombreux aspects, le Magistère JCO permet de gagner en assurance professionnelle et personnelle.

D’endurance : Certaines périodes au Magistère sont intenses et il faut apprendre à tenir le rythme. C’est une réelle préparation au monde professionnel et surtout au monde de la communication et/ou du journalisme, où le rythme est en général loin d’être tranquille.

D’expérience : Les missions Synergie sont l’un des plus gros points positifs de cette formation. Elles nous permettent de nous familiariser avec le monde professionnel. Elles nous permettent de mettre en pratique, une demi-journée par semaine, ce que l’on apprend de façon théorique, et c’est très constructif.

Les stages, les workshops, l’éventuelle implication au sein de la vie étudiante et l’intervention de professionnels du journalisme et de la communication participent aussi considérablement à cette expérience.

  • Humainement :

Travail d’équipe : Les projets que nous sommes amenés à accomplir au Magistère nous obligent à travailler en équipe. C’est une très bonne préparation au monde professionnel.

Cohésion : Le Magistère a la chance d’avoir une réelle identité. C’est ce que l’on appelle la « TeamJCO » et qui se manifeste particulièrement dans les moments forts de la vie au Magistère, comme le Magisterium par exemple.

  1. Quel est votre meilleur souvenir au MJCO ?

Difficile de choisir… il y en a eu tellement en 3 ans ! Si je ne devais en citer qu’un, ce serait le Magisterium 2017, que j’ai organisé avec le reste du BDE de l’époque. De l’organisation au déroulé de l’événement, ce souvenir fait partie des meilleurs.

  1. Quelle(s) compétence(s) avez-vous acquise(s) ou optimisée(s) au sein de cette formation ?

J’ai acquis et approfondi beaucoup de compétences au cours de ces trois années passées au Magistère. Ecrire un article, suivre l’actualité régulièrement et efficacement, réaliser un montage sur Photoshop, manier une caméra, monter une stratégie de communication, apprendre à créer un site internet… impossible d’énumérer toutes les compétences apportées par cette formation très complète.

  1. Quel métier exercez-vous aujourd’hui (est-ce en lien avec les enseignements du MJCO) ?

Je suis responsable de communication chez Maestro, une start-up marseillaise créée en 2017. Maestro est une plateforme qui permet à des professionnels d’organiser leurs événements d’entreprise dans des lieux de particuliers uniques, et de sélectionner directement en ligne toutes sortes de prestations événementielles.

Un poste clairement en lien avec ce qui m’a été enseigné au Magistère : je suis chargée de définir et de mettre en place les actions de communication de la start-up. De plus, j’évolue dans le secteur de l’événementiel, un secteur que j’ai découvert notamment grâce à mon implication au sein du BDE du Magistère JCO.

Propos recueillis par Pierre-Marie Federici